Est-ce que j’ai profité du week-end démarrant mes vacances pour m’avancer comme prévu ?Pas vraiment puisque je suis en train d’écrire ces lignes 30 minutes après l’heure de sortie de cet article. Je ne sais pas comment je fais mais j’aimerais vraiment reprendre un minimum d’avance. Mais bref, nous sommes ici pour découvrir ce que peuvent nous cacher les formats physiques de nos mangas sur leur jaquette ou sur leur couverture. Bienvenue pour un nouvel opus d’Undercover. Et aujourd’hui, on s’intéresse à un des trois types de « secret » des couvertures de One Piece.
Une question de parallèle
Eichiiro Oda est à la tête de l’univers le plus complet disponible sur le marché à mes yeux. Il n’est donc pas rare de le voir se faire des références à lui-même avec une sorte de schéma parallèle entre les deux parties de son œuvre. Mais avant d’arriver à ce fameux parallèle, il a créer des groupes d’antagonistes légendaires notamment par leur opposition avec notre équipage fétiche.


Ici, nous avons le droit à l’opposition la plus flagrante puisque le motif de fond se complète d’un bout à l’autre. Nous avons donc ainsi le droit à un véritable parallèle entre ces deux groupes aux similarités étonnantes mais dont les idées ne pourraient jamais être en accord.


Plutôt évident aussi vu la composition semblable qui saute aux yeux, voici venir l’affrontement avec Doflamingo. Rien qu’ainsi, on peut remarquer une sorte d’organisation par couches qui est bien plus remplie du côté de Luffy. Rien que par ces couvertures semblables, on prend bien en mesure le pouvoir le plus puissant de Luffy, rallier du monde facilement à sa cause.


Voilà enfin, celle que je n’ai remarqué que très rarement. Pourtant, le carré dans le fond ainsi que la composition auraient du être des indices évidents. Mais non, je n’ai même pas remarqué que l’antagonisme le plus marquant avec l’équipage du chapeau de paille avait eu le droit à un tel traitement de couvertures antagonistes.


Ensuite,nous arrivons sur l’évidence même puisque ces couvertures sont là pour montrer le temps passé à l’arrivée dans la seconde partie de l’oeuvre. Je trouve ça particulièrement beau ce parallèle qui prend absolument tout son sens ici.


Oda, en plus de jouer sur les parallèles scénaristiques, aime bien jouer avec les parallèles numéraires. D’où une telle similarité entre les couvertures des tomes 39 et 93. Après, est-ce que ce parallèle à un sens plus profond que ce jeu de chiffres ? Je ne suis pas sûr.
Merci beaucoup de m’avoir lu. N’hésitez pas à me partager votre avis sur ce type d’article, vos connaissances sur les couvertures de One Piece, ou d’autres secrets. On se retrouve dans deux jours pour découvrir une nouvelle série Dans Ma Mangathèque. Maintenant, vous voilà en possession d’un secret pas gardé et dont l’utilité reste encore à prouver, merci UNDERCOVER. A bientôt !
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[…] format papier. Et du coup pour ce deuxième article centré sur l’oeuvre, je vous repartage le premier secret et nous allons nous intéresser aux tomes 46 à 71 comme vous l’aurez peut-être reconnu en […]
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[…] du Weekly Shonen Jump : One Piece. On a déjà parle du parallélisme de certaines couvertures ici et d’une histoire absolument dingue de Pandaman au dos des tomes ici. […]
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